Par quel miracle savoir lequel ce sera, dans un délai aussi raisonnable que vingt ans, aussi fou qu’un siècle, aussi photonique qu’une dizaine de milliards d’années ? Mais : « Au regard de la pensée logique, le miracle serait une tragédie »(citation approximative de La Symphonie tombée du Ciel d’Emmanuel Achache)

la Symphonie tombée du ciel, Emmanuel Achache, Eve Risser.

Au moment où Madame Sandrine Helwig m’annonce qu’elle adore peindre, il me revient en mémoire, comme un immense bruit de silence gourmand, ces heures de celles et de ceux qui préparent la fortune future des réjouis de la crèche muséale et, des avertis. Quel prix fou vaudront un jour les travaux d’eux tous•tes ?

Sandrine Helwig.

Déjà les musées en ont consacré un sacré lot, de Tomi Ungerer à Sophie Taeuber-Arp, et faut dire qu’y a une belle équipe de pécheurs-cueilleurs aux balcons banquiers rhénans… Ça date pas d’hier…

Hans Baldung Grien

C’est comme si l’Rhin voulait jouer dans la grande cour picturale des Flandres. Les flamands , ces fous de peinture. Y a des gloires ici aussi, quoi, plus que ne le voudrait une statistique mondiale égalitaire. Du concentré :

Sophie Taeuber-Arp, Formes élémentaires en composition verticale-horizontale), 1917, gouache, 11 7⁄16 x 9 7⁄16 in. (29 x 24 cm). Fondation Hans Arp et Sophie Taeuber-Arp
Sophie Taeuber-Arp, Formes élémentaires en composition verticale-horizontale), 1917, gouache, 11 7⁄16 x 9 7⁄16 in. (29 x 24 cm). Fondation Hans Arp et Sophie Taeuber-Arp
Sophie Taeuber.
Sophie Taeuber
Sophie Taeuber-Arp Composition en taches quadrangulaires (1889–1943) 1920

Et des gloires rhénanes, même en BD (Blutch, rien qu’ça : les sujets belges ont qu’à bien se tenir !)

Blutch (parce que Blutch, c’est du rhénan)

Et puis évidemment Tomi Ungerer :

Tomi Ungerer
Tomi Ungerer et son bagage.
Été 2015

Été 2015.

Tomi Ungerer (Slow Agony)
Tomi Ungerer c’est du Rhénan itou.
Tomi Ungerer même si ça étend le Rhin vers la Nouvelle-Ecosse…


Tomi Ungerer.
L’Oublié,Palimpseste.

En passant, tout près de la cathédrale, devant l’ancienne vitrine de je ne sais plus quoi de ce qui fut un jour on ne sait vraiment plus quel magasin – et qui pourtant avait été luxueusement décoré d’un trompe-l’œil…

Le souvenir d’un peintre, qui peut-être en aurait fait les décors, me revient comme une ombre. Si c’est bien lui. Auteur de cent tableaux rigolards, je me souviens qu’il gagnait sa croûte en animant pour le Docteur Bréjeon, l’atelier d’ergothérapie d’un service psy. Il est mort discrètement, il y a un ou deux ans. Aussi différent que possible de tous les autres peintres. Était-ce bien lui ? Il faudrait que je m’approche de cette déco pour en être sûr.

J’aimerais, tant celui qui a disparu était modeste, que les traces laissées par son travail puisse faire oracle d’un triomphe futur, de la gloire en-soi. Le sien, son triomphe enfin, d’artiste jamais décrypté. Il resurgirait un beau jour du fleuve des temps comme un trésor, et son souvenir au moins savourerait les triomphes que savourent de leur vivant ceux qui font la joie des galeristes, des grands musées, des banques. Mais qui croit encore aux divinités aimables de la Fortune ?

Tomi Ungerer glorieux dans son propre musée

Qui soupçonnerait, en l’oublié de l’échoppe palimpseste, un futur lauréat, véritablement olympien. Comment me souviendrais- je de l’aspect qu’eût la boutique au début ? Mais qui, bon dieu de la mémoire, l’avait décorée, cette boutique, il y a quelques dizaines d’années à peine, rue des sœurs, face à une placette créée par un bombardement, la place Matthias Mérian ?

2024, Décembre.

Or voici : si le souvenir précisément en est incroyablement effacé de ma propre mémoire, il ne reste quasiment rien des décors initiaux.

2024, Décembre.
Que dirait Blotch l’antihéros du dessin inventé par Blutch, de tous ces cavaliers de l’orage abandonnés au maugré d’Oublies ?
Jérôme Culmann dit Bouxwiller, lors de son repli en 1940 près des maquis de la Glière.
Oublié des oubliés…
Jérôme Culmann Bouxwiller, peu de temps avant que ce jeune cousin de mon oncle eût sauvé ma tante Janine de l’Ennui par sa drôlerie totalement effacée depuis sa mort déjà lointaine (je ne l’ai découvert que dans la préface de « Pour une danse plus humaine » livre consacré à sa bien-aimée, la danseuse Isadorable Janine Solane.)
Le frère d’Isadora Duncan avec Janine Solane.
Jérôme Culmann Bouxwiller seuls ces dessins jettent un regard sur le repli de mon Grand père et de son frère O.V., à la Candie en Savoie, ce qui permit à ses enfants d’éviter l’uniforme nazi)
Jerome Culmann Bouxwiller, pour Dominique Solane.
Jérôme Culmann Bouxwiller (au vent maugré d’Oublies… )

Il y a trois ans j’avais déjà pris en passant une photo de cette devanture de l’énigme abandonnée de bon gré par des ans l’outrage. Mais voilà : si l’auteur en est bien celui auquel je pense, il a dû se régaler en la voyant se métamorphoser sans cesse. Il adorait l’usure des murs recouverts d’affiche qu’il allait reluquer en Inde.

2021, Novembre.
André Nabarro, retour d’Indes.

La vitrine décatie est un travail des moires. Aussi, ignorante comme moi des enjeux qui travestissent le quotidien en comédie de boulevard ou en tragédie, la décoration palimpseste de la vitrine répond au regard de l’artiste oublié. Les désirs posés sur la dégradation des murs qu’il observa en Inde, et avec quelle attention ! Et du coup les hypothèses se bousculent, lequel, mais lequel des artistes d’ici donnera le ton des futurs ? Ils sont comme les chevaux au départ d’une odyssée antique, vers les incertitudes de la mer aux larges voies, vers les naufrages ou les bruits de batailles. Ô Moires ! (L’hymne orphique aux Moires résonne en moi je vais le dérouler dans un instant enfin sa traduction)

Je ne suis pas encore allé en Inde. Mais dans un hameau secret des Charentes, près de la Boutonne, deux esthètes rhénans ont su garder pour le vertige de mes yeux, presque magiquement, la moire des murs anciens de la demeure agricole qu’ils achetaient aux enfants d’Albert Bastel, le long de la tortueuse rivière Boutonne, et où je suis revenu souvent.

Chez les deux esthètes rhéno-charentais, conservateurs des murs de feu l’Albert Bastel.

(l’hymne orphique aux Moires :
Moires infinies, chères filles de la noire Nyx, entendez ma prière, ô Moires aux mille noms, qui, autour du marais Ouranien, où l’Eau claire flue des rochers sous une épaisse nuée, hantez l’immense Abîme où sont les âmes des morts ;

Les moissons d’Albert Bastel. Inscription pieusement conservée par les deux esthètes.

vous qui allez vers la race des vivants, accompagnées de la douce Espérance et cachées sous des voiles de pourpre, à travers la Prairie fatidique, là où la Sagesse dirige votre char qui embrasse tout dans sa course, aux limites de la Justice, de l’Espoir et des Inquiétudes, et de la Loi antique, et de l’Empire régi par des lois puissantes, car la Nécessité sait seule ce que réserve la vie, et aucun autre des Immortels qui sont sur le faîte neigeux de l’Olympos ne le sait, si ce n’est Zeus ;

Murs moirés du temps d’Albert Bastel conservés par pure sagesse.

et la Nécessité et l’esprit de Zeus savent seuls tout ce qui nous arrivera. Mais, ô Nocturnes, soyez-moi bienveillantes, Atropos, Lakhésis, Klothô !

Chez feu Albert Bastel, dirait on pas une chaire à prêcher la Logique d’une édifiante tragédie ? Que serait une tragédie pour la Logique ?

Venez, ô Illustres, aériennes, invisibles, inexorables, toujours indomptées, dispensatrices universelles, Déesses rapaces, nécessairement infligées aux mortels ! Ô Moires, accueillez mes libations sacrées et mes prières, soyez propices

Moires aux murs de feu Albert Bastel, Charente. Si c’était l’apparition d’un voile fumeux, quelle tragédie pour la pensée Logique.
Albert Bastel, « composition inconsciente de vélos volants », grange des deux esthètes , Charente Maritime, dernier jour de Décembre 2024.

J’ai pour mes amis silencieux, peintres aux pinceaux aussi ailés que les vélos de feu Albert Bastel, des rêves aussi grotesques, d’aussi anachroniques triomphes que ceux qu’invoquait (en vain puisqu’oublié) Orphée.

Orphée ! Reviens ! Que tout cela, qu’ielles créent, se cache un jour aux replis de la folie d’argent des investisseurs aveugles des futurs, c’est précisément ça qui me donne, au contraire de leurs envies insensées, des envies de Champollion, de décrypteur de mon propre Désir, celui qui seul fasse, authentiquement, Sens : je regarde autour de moi, je tends l’oreille parce que les pinceaux ne font pas de bruit. Le sens du désir. Oligarques, si du désir vous aviez fait la magique étude, vous cesseriez de nous abreuver de tant de merde !!!

Laurent Kohler,Regard d’une caissière non encore automatisée, abysse du Négoce.

Et les héros de la peinture seraient les hérauts de nos joies partagées pendant que, pour devenir de vraies gens de Bien, vous feriez pleuvoir les vôtres, de biens, sur nos réjouissances solidaires ! Comme dans le photomontage de Tomi cette course cesserait d’être vers l’étrangeté d’un mur. Que voulait il dire, lui le trop-glorieux ?

Tomi Ungerer
Jérôme Culmann Bouxwiller, triste succès.
Tomi Hindungerer.

Ainsi les fragments perdus par ma mémoire de la paisible boutique, comme ceux de parchemins qu’on retrouve parfois : chanceux ! Se cacherait derrière cette devanture un Homère de la peinture, que les millénaires conserveront quand tous ses tableaux sont déjà presqu’introuvables aujourd’hui. Et son nom. Le nom de qui ?

Iliade, VIII° s. av. JC., Papyrus conservé à la BNU de Strasbourg.

Pareils à ce parchemin de l’Iliade, qui dormait à la Bibliothèque universitaire dans une invraisemblable négligence : les décors abîmés de la petite boutique.

André Nabarro en Inde, seventies.

Me revient le souvenir de l’ inconnu presque parfait. Je sais, oui, qu’il aurait ADORÉ trouver un décor aussi usé que celui de la devanture peinte par lui – enfin était-ce vraiment par lui ? : c’est dans les années 70 qu’il allait avec quelques potes en chercher de semblables en Inde, quelques années après avoir terminé ses études à l’école des Arts décoratifs de Strasbourg où très humblement il s’était surtout félicité d’avoir appris mieux que quiconque l’art du faux-marbre.

Screenshot
André Nabarro, plateau de table en faux-marbre
Blutch.
André Nabarro, carnet de voyage.
Le Ganesh d’André.
André Nabarro, carnet de retour d’Inde.
André Nabarro, carnets de retour d’Inde : un temple électrique

Inconnu parfait, au sens d’une perfection philosophique. A quoi bon parler ou faire parler de soi ? Je les imagine, mes précieux dans cette petite ville rhénane, par discrétion ils se taisent et représentent des réalités, inimaginables sans eux, chacun la sienne. Un jour les journaux du monde entier leur tireront le portrait !

Tomi Ungerer, couverture du journal « Du ».

Quelle vanité, la signature, quelles vanités, les comptes en banque remplis. André Nabarro, ça me revient, avait même ramené des photos de fragments de désastres muraux indiens, et les croquis qu’il en faisait.

André Nabarro, Carnet de voyage

Avec le même désir d’en faire quelque chose que celui qui avait saisi Tomi Ungerer, l’été 2015, quand voyant à terre des fragments brisés, il avait supplié qu’on les prenne en photo avant qu’on n’ait oublié leur disposition, afin qu’il trouve qu’en faire en matière de représentation.

Crookhaven, Juillet 2015..Qu’est-ce que Tomi en aurait fait ?

Puisque le nom de celui qui décorait la boutique de la rue des sœurs n’a jamais connu de gloire, comment évoquer son nom sinon en rappelant qu’il ramenait d’Inde des photographies de palimpsestes muraux ? Et qu’il ramenait aussi un émerveillement. Pour enchanter ce qui l’entourait, depuis l’épicerie paternelle jusqu’aux témoins de ses fêtes.

André Nabarro.
Qu’en dirait Blotch, le sujet de la BD de Blutch ? Que tout ça c’est du belge ?

Moi, j’avais pris la photo que voulait Tomi, celle du pot brisé, près de Goleen, dans le County Cork.

Tomi Ungerer, la fixation du souvenir.

Peut-être est-ce simple geste qui fait qu’au moment où Tomi s’est éteint, après avoir annoté les correspondances de Nabokov, ce maudit neuf février 2019, j’ai été réveillé avec l’impulsion de partir dessiner pendant quelques heures dans ma cuisine, sur un pauvre abat-jour, jusqu’à apprendre au matin sa mort, là-bas, à Cork ?

Tomi Ungerer cherchant un livre de Pierre Loti, Septembre 2018

Depuis, son musée paraît s’être un peu vidé de son attrait antérieur, quand je prononce son nom, les gens de la ville, qui tous sursautaient en entendant parler de lui, se raréfient. Les moins vieux ne savent souvent même pas de qui on parle.
C’est comme pour l’auteur d’une œuvre qui avait changé ma vision du monde, F’Murrr, avec son impayable et philosophique BD du «  Génie des alpages » : il n’avait plus le sou, à la fin !!!

Richard Peyzaret dit F’Murrr
F’Murrr
F’murr.
F’Murr.

Juste avant d’avoir photographié les éclats du pot de terre cuite, devant le bistrot de Crookhaven, il faut dire que j’avais observé, chez Tomi, à Three Castle Head , ceci, qui semblait être fait d’éclats, aussi :

Tomi Ungerer.

Des éclats de disque qui figurent un sourire. Quant à la façade du fantôme de boutique de la rue des sœurs, l’évocation d’éclats de rire jaune m’y renvoie au contraste entre les mille reconnaissances publiques dont bénéficiait Tomi, et le grand silence qui entoure la boutique désespérément vide de la rue des sœurs :


Aussi, l’effacement du décor de l’échoppe ressemble à toutes nos disparitions, et je sais que je dois me réjouir de cela, que l’éternité se moque bien du temps, que je ferais mieux de ne pas écrire, que toute trace est vanité à côté des joies de l’amitié, de l’aimance, de l’amour.

Denise Zeitoun réagissant en 2017 à la gloire de Tomi Ungerer.
Tiens , Denise Couca Zeitoun… à plus de quatre vingt dix ans elle dessinait aussi !
Denise Couca Zeitoun.
Denise Couca Zeitoun.
Denise Couca Zeitoun.
Denise Zeitoun, I have never known, during the whirlwinds I’f my existence, the nature of my desire with such tranquility (Bravo!) impressions de lecture et proposition d’une correction : cette annotation sur le désir écrite a plus de quatre vingt dix ans m’apparaît soudain comme un dessin, comme un poème, comme une poignée de main…
Vingt dieux qu’en dirait Blutch ?


C’est ça que disaient les représentations du panier de verres par le célébrissime Stosskopf, le peintre qui semblait annoncer une période aussi riche artistiquement, en Alsace, que ce qu’on a appelé l’Age d’or flamand, juste avant que la soldatesque de Louis XIV nous réduise en province. Cessons de parler de moi. De nous.

Sebastian Stosskopf

Quand même, cette boutique vide, au prix du mètre carré en pleine ville ! Comme un gouffre, comme une grotte où on respirerait les vapeurs toxiques des désirs : qu’est ce que je pourrais bien en faire ? Y convoquer les historiens et les critiques d’art les plus experts pour projeter tous les artistes de cette ville vers le Nirvâna des Einstein du portefeuille ?
L’oracle pourrait tourner comme un devin fou, indiquer soudain comme un compère, comme une autre divinatrice, les travaux secrets par exemple de :

Caroline Martin Schlosser. Femme glissant.
Caroline Martin Schlosser, Stature.
Caroline Martin Schlosser. Retour des Aviat’
Caroline Martin Schlosser
Caroline Martin Schlosser.
Caroline Martin Schlosser et “Femme-pylône au Schelmenkopf”
Caroline Martin Schlosser.
Caroline Martin Schlosser. Femmes-pylônes sur les flancs du Schelmenkopf.

Oulala qu’en aurait dit Blutch ?


Ou quand Philippe Haag, par exemple, délaissant ses abstractions, a commencé à représenter avec une telle maestria les troncs des arbres, les lignes de ses plages, les galeristes n’ont pas tout de suite compris qu’il fallait se l’arracher. Puis c’est venu. Mais c’est ce processus qui permet maintenant que son travail apparaisse, signature ou pas : réjouissance, pendant que silencieuse se tient l’échoppe abandonnée.

Novembre 2021.

Seul, probablement, je me demande si vraiment celui qui avait mis la petite boutique en peinture sera au rendez-vous protecteur, lui aussi, un jour, des collections et des musées.

Philippe Haag.
Philippe Haag.
Philippe Haag.
Philippe Haag
Philippe Haag.


Philippe Haag.


Philippe Haag.


Philippe Haag.


Philippe Haag, vague.
Philippe Haag.Grève.
Philippe Haag.


Chaque année il y a un moment de culte à Strasbourg, à l’Ecole des Arts Décoratifs (au nom actuellement et administrativement remplacé par un acronyme). A l’occasion des « diplômes», les  travaux de dizaines d’élèves sont exposés. Chaque année de bouleversantes surprises renouent avec la loi de la nécessité, celle qui fait qu’après la rencontre de telle ou telle œuvre il puisse arriver qu’on ne perçoive plus rien pareillement. Ainsi la ville serait plus sous l’empire qu’il n’y paraît, de créatures dessinantes, qui en savent parfois plus long sur nous que nous-mêmes.

Par exemple Colomban Mouginot, dont Tomi aurait adoré les teintes :

Colomban Mouginot
Colomban Mouginot.
Colomban Mouginot.
Colomban Mouginot
Colomban Mouginot.
Colomban Mouginot

Ou Aurélie de Heinzelin, dont Tomi avait été si bouleversé en découvrant le travail, (il avait parlé de “terrorisme de l’âme”) qu’il avait fallu l’empêcher de boire toute une bouteille de mirabelle.

Aurélie de Heinzelin.
Aurélie de Heinzelin.
Aurélie de Heinzelin.
Aurélie de Heinzelin
Aurélie de Heinzelin
Aurélie de Heinzelin.
Aurélie de Heinzelin.
Aurélie De Heinzelin.
Aurélie de Heinzelin.
Aurélie de Heinzelin.

Ou alors l’œuvre méconnu de Georges Pasquier, malgré son pignon sur rue.

Une boutique, une vitrine, l’aveuglement des voisins. Dedans, comme le ressort du destin tendu à bloc par une centaine de tableaux.

Georges Pasquier. (Le tableautin du dessous : Autoportrait
Georges Pasquier, Météorite.


Barack Obama par Georges Pasquier avec Tomi Ungerer en premier plan.2010.
Georges Pasquier.
Georges Pasquier. Vénus.
Georges Pasquier Les migrants.
Georges Pasquier. Femme-soleil levant.
Georges Pasquier.
Georges Pasquier Ma mère.
Georges Pasquier (au milieu) avec une œuvre du même.
Georges Pasquier, Disques noirs.
Georges Pasquier et son Victor Hugo
Georges Pasquier.
Georges Pasquier, 1995.
Georges Pasquier.
Georges Pasquier et un•e de ses météorites.
Georges Pasquier.
Georges Pasquier.
Georges Pasquier. L’alsacienne.
Georges Pasquier, Géorgie.

Et en matière de génie Irhénane, Rhénirane, Téhérhénane, Ainaz Nosrat pourrait évidemment concourir à ces folies paroxystiques dont s’evanouiraient les milliardaires les plus soucieux de préserver quelque fortune en y investissant de quoi mécéniser l’innocence la plus incorruptible : car l’Oeuvre d’Ainaz !

Ainaz Nosrat


Ainaz Nosrat.


Ainaz Nosrat
Ainaz Nosrat, artiste en visite chez Georges Pasquier
Ainaz Nosrat.
Ainaz Nosrat, work on process.
Ainaz Nosrat, chantier.
Ainaz Nosrat , travaux préparatifs.
Ainaz Nosrat
Ainaz Nosrat.
Ainaz Nosrat.

Ou bien Ghislain P. et ses aquarelles raffinées, rapportées de ses odyssées permanentes ? Il pourrait lui aussi, être sans cesse en train de revenir de lointains aussi vertigineux que celui qui déposait des laques à le devanture de la boutique abandonnée de la rue des sœurs. Ils seront bien emmerdés, les investisseurs qui n’avaient pas pensé à temps à considérer les menhirs d’aquarelle qu’il oppose, chaque jour, aux ouragans immoruaux de la financiarisation du monde, ceux là même que dénonçait déjà Erasme.

Ghislain Pfersdorff


Ghislain Pfersdorff.
Ghislain Pfersdorff.


Ghislain Pfersdorff.
Ghislain Pfersdorff
Ghislain Pfersdorff

Ah ! Et Le mur bleu de Denis Fruchaud !

Peut-il, après trente années d’existence bénéfique sur un mur qu’il bleuissait ici, être dit rhénan ? S’il s’était déposé aux montants du magasin hermétiquement clos de la rue des Sœurs, viendraient elles, les sœurs, y trouver clôture pour y marmonner mille prières afin que le travail de Denis pulvérise les enchères ?

Denis Fruchaud. Le futur port de Mestre vers Venise quand l’affreux pont sera enlevé et la navigation à voile restaurée…
Denis Fruchaud
Denis Fruchaud descendant, avec Jean-Jacques M., une symphonie depuis le ciel en 1995.
Denis Fruchaud : Projet de remplacement d’un tramway strasbourgeois qui circulerait uniquement les nuits de pleine lune et quand on fêtera la restauration de l’Avenue des Vosges et de la Forêt-noire rendu à son statut de plus belle avenue du monde : drakkar tiré par deux girafes réticulées.
Denis Fruchaud. 1995.
Denis Fruchaud.2024.
Denis Fruchaud, Le château du Falkenstein.

Denis Fruchaud.

Et que dire des facultés qu’aurait Bruno Carpentier à effarer les archéologues photoniques de dans douze milliards d’années, lui qui chaque jour multiplie son observation unique du monde, par exemple, là, observant le mur bleu de Denis Fruchaud :

Bruno Carpentier. Son illustration du mur de Denis.
Bruno Carpentier, La Capitainerie, Port du Rhin, Strasbourg.
Bruno Carpentier.
Bruno Carpentier. Les tours d’Anatour.
Les tours d’Anatour, Bruno Carpentier.
Bruno Carpentier.
Bruno Carpentier. Notes au décours de l’exposition « Ça vaut le Détour » présentant conjointement des œuvres de Tomi et les emballages cartonnés arrachés à la poubelle collective d’un immeuble du Schnockeloch (trou à schnock, surnom de l’Alsace) et posés dans des cadres arrachés à « Emmaüs »
Bruno Carpentier. L’ombre, la lumière, les écritures oubliées de Sumer ressurgissent des tours des années soixante-dix sur le site des anciennes casernes prussiennes du Strasbourg 1870, palimpseste de Straßburg.
Bruno Carpentier.

Mais Bruno Carpentier, lui, a déjà les ailes de la Renommée !

Bruno Carpentier, tour de la Commanderie, Nancy.
Bruno Carpentier.
Bruno Carpentier, regard d’un Nancéen sur le plus vieux monument de sa ville natale.

Et François Duconseille, dont j’attends que le Whitney Muséum le bombarde citoyen américain afin juste d’obtenir le droit de l’exposer à New York ?

François Duconseille, et Bruno Carpentier en train de dessiner.
François Duconseille, pied de nez aux restes (emballages métamorphiques)
François Duconseille.
François Duconseille.
François Duconseille.
François Duconseille. Déchets arrachés à la tombe du BAC JAUNE dans la cave de l’immeuble.
François philosophal Duconseille .

Et au delà des murs érodés de la cité, au delà du mystère prophétique des gloires, plus silencieux qu’un sphinx, Antoine Walter ? Son œuvre sécrété au fil des décennies au fond d’une deuxième cour qui fut un vrai Carmel, caché en clôture, dans l’élaboration d’un travail vertigineux qui associait la topologie, les structures du penser, les théories chromatiques ?

Antoine Walter (en allant sur « delcaflor » son site, c’est la forêt profonde …
Antoine Walter.
Antoine Walter
Antoine Walter
Antoine Walter
Antoine Walter, paravent.
Antoine Walter
Antoine Walter, bijou borroméen.

Et ainsi, muette, se tenait l’échoppe, ô, sœurs renommons votre rue, et allons voir là-bas au pays qui vous ressemble, les miroirs profonds,, les riches plafonds et la rue de la sororité.

Rue de la sororité. L’échoppe oraculaire à droite et la cathédrale hirondelle en train de se jeter dans le ciel à gauche.

Dirait on pas que c’est depuis cet angle que Laurent Kohler aurait esquissé un de ses milles croquis de la Cathédrale (le mille et unième suspendu entre une douceur proustienne et celle des Ménines, posées par lui dans le dernier urinoir Napoléon 3 de la ville ?)

Laurent Kohler, Cathédrale, les mille croquis.
Laurent Kohler , Velazquez et Marcel Duchamp.
Laurent Kohler, Fontaine, le retour.

Certainement ma grand-mère (qui prenait des cours de peinturerie) aurait toisé un tel geste urbanistique et l’aurait elle déclaré Boche, en continuant de nous cacher qu’elle était de Metz et pas de Nancy (d’où l’on toise encore l’Alsace et la Moselle au jour administratif d’aujourd’hui). Elle se serait drapée dans les plumes de ses tenues en se tournant résolument vers les surréalistes parisiens comme un soleil légitimant ses obscures origines germaniques.

Aymée Notté, épouse Greff, une plume de sa robe. Les années vingt.(elle aussi peignait à ses heures)
Aymée Notté
Aumée Notté peintre en cachette.
Tomi Ungerer, Observant une éclipse de cathédrale.
Tomi, Couverture du journal « Du ».
Laurent Kohler, Depuis le regard des passagers du Tramway, la cathédrale.



Et, au delà de la liste nombreuse des génies qui surprennent et modifient sans relâche le regard de ceux qui d’ici observent leur travail, en cherchant plus loin dans le passé, l’incroyable Allenbach, inconnu à New York ?

René Allenbach.
René Allenbach
René Allenbach
Laurent Kohler, un de ses mille croquis (incitations à la mille et unième nuit ?)







Quant à René Ringel d’Illzach, depuis que l’abracadabrant singe au dauphin n’est plus dehors dans les jardins de l’Orangerie, qui ne susurreréalisterait son nom ?

Ringel sous la protection d’Augustin.
Désiré Ringel d’Illzach.
Ringel d’Ilzzach.

Et l’immense Lothar von Seebach, qu’aucun galeriste chinois ou japonais n’a encore imaginé à quel prix on se l’arracherait ?

Lothar Von Seebach.
Laurent Kohler. Le palais de l’empereur, qu’on verrait sur le tableau de Lothar von Seebach s’il avait un tout petit peu penché la tête vers la droite.
Laurent Kohler, L’axe égyptien du Strasbourg impérial, depuis le soleil levant jusqu’à l’empire des morts.
Lothar Von Seebach
Lothar Von Seebach Strasbourgeois dans l’Intérieur d’une autre échoppe, pas si loin de celle dont l’Oublié recouvrit un jour lointain les encadrements.
Laurent Kohler, Strasbourgeois dans l’intérieur du Tramway,(éternité de l’instant ?)

En m’approchant du décor de la boutique de la rue des sœurs, le mystère s’allège. Vraiment ? Méfiance d’Acier, aurait proféré le meilleur ami d’André, le tahitien Christian Lengaigne :

Christian Lengaigne. MÉFIANCE D’ACIER.

Ce faux- marbre ! Aucune méfiance n’est plus de mise. Chacun son truc et celui-là, c’est du Nabarro. Oui, celui qui revenait des Indes.

André Nabarro.

Il est d’André. André Nabarro qui a fait humblement et rigolardement les Arts Déco en 68. S’il s’était trouvé qu’un indien, au contraire, avait visité notre ville, au temple gothique de grès rouge comme André Nabarro visitait le Kerala…

André Nabarro.

( oui, c’est lui qui sera photoniquement célèbre dans huit milliards d’années!)Oui, si cet artiste était venu visiter le grand temple de Strasbourg comme André allait visiter ceux de L’Inde, ces décors totalement effacés de la boutique divinatoire l’auraient tellement aguiché, qu’il les aurait ramenés dans le Kerala…

Éléments rapportés par André Nabarro depuis le Kerala, années quatre vingt.
André Nabarro , filigranes …
André Nabarro, filigranes.

Et peut-être cet hypothétique Indien en aurait-il tiré des panneaux symétriques à ceux qui naquirent chez André en rentrant de ses effarements mystiques aux temples hindous.

André Nabarro.

Il aimait tant les fêtes, André, qu’on l’appelait « La Fraise ». Il mettait, à la préparation de ses fêtes, une passion de bénédictin.

André Nabarro, La Fraise.
André Nabarro.

Il aimait, comme Tomi le glorieux, aligner des objets sur ses rayonnages. Mais si Tomi disposait comme ça, dans une sorte de métaphysique objectale :

Tomi Ungerer
Tomi Ungerer.

André, lui, dans un même et immense éclat de rire avec le même et chanteur accent alsacien alignait :

Hergé, honoré par André Nabarro.
Cuisine d’André.

Un grand vent secoue la plaine, tous les noms s’envolent, reste le Nabarro méconnu, en train de crier : TU RIGOOOOOLES !

André Nabarro.

Et on rigoooolerait…

André Nabarro
On rigooooolerait comme pas possible.
André Nabarro. A la gaaare et avec les bagaaages.

Et le grand vent secouerait la plaine.

Et si, subitement, ce soir, demain, réapparaissait miraculeusement Tomi, pharaon ressuscité mais encore effrayé par la peinture des grands Autres, (Hopper par exemple) un verre à la main pour se défendre ?

Edward Hopper
Tomi Ungerer
Tomi Ungerer

Et même un marc de Gewürtztraminer pour se prémunir de la gloire de l’autre Grand Autre, la Sophie Taeuber, le Hans Arp s’il le fallait !

Hans Arp et Sophie Taeuber, projet pour l’Aubette.
Jean-Hans Arp, Sophie Taeuber-Arp et Denis Honegger.

Ah, cette réapparition de Tomi, quel délicieux miracle ce serait ! Je pourrais bazarder l’abat-jour maudit du neuf Février !

Abat jour peint pendant que s’éteignait Tomi.


Tomi Ungerer.


Mais la presse, déchaînée par le grand vent sur la plaine, combien de temps attendra t elle pour découvrir que tous ces travailleurs acharnés périment par le miracle de leur Œuvre, sans arrêt, ses premières pages et ses grands titres, balbutieurs de faits-divers portés aux paroxysmes des guerres et des épidémies ?

La presse.
Laurent Kohler, « Androïds » , après effacement de la presse, le vent mauvais de la mise en esclavage par le « maître-du-bout-des-doigts, influenceur absolu des absolutismes oligarques… Par quel miracle l’apparition du vivant viendrait-t-elle mettre nos maîtres à la retraite ?


Sauf qu’en matière de miracle, la grande phrase est prononcée ce soir du 14 Décembre 2024, dans la représentation au TNS de «  La Symphonie tombée du ciel » : « Pour la Logique, la survenue d’un miracle serait une tragédie. »

Une Symphonie tombée du ciel.
« La Symphonie tombée du ciel », le quatorze Décembre 2024, T.N.S.
André Nabarro (table)
Alors, sûrs de la Logique , on chercherait comme un bénédictin toutes les reliques du savoir-faire de l’Oublié.
La Fraise en fête.
André Nabarro
André Nabarro préparant méticuleusement son antre à fêtes.
André Nabarro
Décor de fête Nabarrienne.
André Nabarro.
Du déliiiire.
Les fêtes à La Fraise !
André Nabarro
André Nabarro.
André Nabarro.
André Nabarro, Les cylindres à prières, et l’étroitesse d’un lit.
André Nabarro par Vincent Nabarro
La famille d’André , balbutiements d’une historiographie.
Début d’une biographie Nabarandréenne : les parents de l’artiste en jeunes gens.
L’André en Inde et des couleurs le combat.

Mais l’échoppe achoppe sur ce combat des couleurs photographié en Inde, lorsque je remarque, dans l’atelier de Georges Pasquier, l’ombre coïncidentielle de la même scène :

Georges Pasquier, Combattants.
Palimpseste sororal.
Murmuration d’étourneaux : symphonie tombée du ciel ?
André Nabarro, rue des Sœurs, une fête au Bar des Aviateurs, offerte par Franck Meunier, peu avant le lent effondrement de La Fraise. Pense-t-il, quelques secondes après, à regarder, quarante mètres au delà du bar des Aviateurs, les restes de son travail sur la devanture oraculaire ?
André Nabarro, promo des Arts Déco Mai 1968 du faux-marbre persistant rue des sœurs.
« S’il y avait un miracle, ce serait une tragédie pour la Logique. »( cité dans « La Symphonie tombée du ciel » de Samuel Achache, Florent Hubert, Eve Risser et Antonin Tri Huang.
Image construite fortuitement par le soleil et des branches, Pierre aux Neuf gradins, Soubrebost, (Creuse) dans la partie céphalique d’une cupule cultuelle depuis le Paléolithique probablement. Apparition miraculeuse ?
Soubrebost, leçon de dessin, visage de femme sur la pierre où elle fut peut être sacrifiée. Auteur «  l’ombre des arbres du bois de la Pierre aux Neuf Gradins. Symphonie tombée du ciel ?
« La Symphonie tombée du ciel » Emmanuel Achache, Eve Risser…
Elsa Agnès , Décembre 2024.

André Nabarro devant quel temple ?

Et l’oracle alors, se jouant de la logique, se tournait vers Patrick Garruchet aux écritures emportées, aussi décidées que les jeux d’ombres sur la Pierre aux neuf gradins de Soubrebost.

Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick’Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.
Patrick Garruchet.

Les encres, oui, comme la victoire d’une montagne Sainte Victoire.

Patrick Garruchet.
Ainsi qu’au verso de l’Oublié (Albrecht Dürer, Karlsruhe)…:
Au Verso du Méprisé, un abstrait d’Albrecht Dürer, Autoportrait barbu regardant une silhouette vue de dos, tête et nuque, ou abstraction absolue ?)
Albrecht Dürer autoportrait désirant ?

Cependant au concours des futurs résiste l’échoppe…

André Nabarro en Pythie de Telphes (prononciation Dettwiller)
André Nabarro.
André Nabarrooooo
Blutch.Surgissement d’un nouveau à « Fluide Glacial »
Aloyse Roth (qui travaillait encore comme peintre du bâtiment en 1990) : chef d’œuvre d’entrée dans le métier : Angle rue de Zürich et du quai des bateliers à Strasbourg, avant le comblement du Bras du Rhin qui surgissait là, et où les Bâlois sont venus secourir les Strasbourgeois lors du bombardement de 1870, quelques années avant la naissance d’Aloyse.
On Nabarigooolerait!

On découvrirait à l’envers relatif des cartes du Temps tombées de la poche d’Einstein, que de colossales fortunes se seraient édifiées, des empires, que dis-je, des promontoires, que dis-je, des nez tartuffés d’émeraudes et de rubis, grâce aux triomphes prédits par la boutique oubliée de la place Matthias Mérian. Les triomphes de :

Albrecht Dürer évidemment….
Albrecht Dürer pas en vert.
Sophie Taeuber-Arp.
Denise Couca Zeitoun (aux œuvres à rechercher au fil des papiers qu’elle a bien dû laisser quelque part !)
Aurélie de Heinzelin bien évidemment.
Ainaz Nosrat : Les persans exigeraient la restitution de toutes les œuvres d’Ainaz Nosrat entreposées au Centre Pompidou rebaptisé Bombidou.
Denis Fruchaud éternellement…
Caroline Martin-Schlosser serait à l’origine de retentissantes fortunes…l
Laurent Kohler avec Philippe Haag.
On retrouverait dès centaines de tableaux d’Aymée Notté, plus inventifs que « Lilas sur fond noir », enfouis sous la tour de la Commanderie de Saint-Jean à Nancy…
Commanderie de Saint Jean, avenue Jeanne d’Arc, Nancy.
Commanderie de Saint Jean, Nancy, avant les boulevards.
Georges Pasquier.
André Nabarro au Tivoliiii.
Patrick Garruchet et François Duconseille à Bâle palimpseste de Basel.
F’Murrr, visitant le (et exposé au) Musée Tomi Ungerer, sous la protection et l’admiration de Madame la Conservatrice Thérèse Schmitt Willer.
Bruno Carpentier : Et le monde futur n’aurait pu être reconstitué que grâce aux recensions de l’actuel par Bruno Carpentier, c’est dire les droits d’auteur !!!!
15 Mars 2015. François Duconseille observant l’Oublié, le Méprisé, le Rejeté, au verso de l’«Abstrait(?)» d’Albrecht Dürer.
Jérôme Culmann Bouxwiller.

Ainsi tous, lestés du poids immense de la vitrine oubliée de la rue des sororités, courant dans le silence des pinceaux vers le regard bienveillant des divinités oubliées, en un immense concours rétinien, prunelles des yeux d’Isis, Regina Coelis.

André Nabarro, boucliers De la Peinture, Kerala.
Lorraine Bonnani née Schneider, artiste États-Unienne rhénane.