Si le cerveau ne s’allumait plus, le matin, si aucune pensée ne venait plus folâtrer d’elle-même avec le Réel et lui donner mes couleurs, c’est çela que j’appellerais l’absurde alors que le monde, débarrassé de mes songeries, de mes ruminations superficielles, serait simplement le monde ensoi. Mais moi, ce que je ressens, c’est une sorte de doute…